Géobiologie : Retrouvez l'harmonie

Qu’est-ce que la géobiologie? C’est un savoir très ancien mais qu’on peut classer comme science nouvelle pour l'homme contemporain. Il s'agit d'une association de la racine géo (la terre) et biologie (l'étude de tout ce qui est vivant). La géobiologie s’occupe de ce qui peut nuire au développement harmonieux de la vie (humaine, animale et végétale).

Le rayonnement de la terre a une influence sur les cellules de notre corps. Nous sommes donc en interconnexion avec notre environnement. Nos lieux de travail ou d'habitation peuvent être perturbés par des ondes liées aux champs magnétiques et électriques (courants d'eau souterrains, les réseaux métalliques, les failles géologiques, les cheminées cosmo-telluriques ainsi que les matériaux de construction et les formes d’architecture). Les personnes qui vivent dans ces zones perturbées peuvent devenir malades de leur environnement. 

Quand la terre et le ciel nous révèlent leurs secrets…

Quel est l’impact sur l’être vivant ? La possibilité de créer des perturbations énergétiques. Dans l'univers, tout est vibration et chaque élément de cet univers possède une fréquence vibratoire. Ces radiations invisibles traversent même l'acier et le béton.

Énergies telluriques et cosmiques. Tout est vibration : notre corps, notre environnement, y compris la planète et le cosmos qui sont deux forces primordiales, dites énergies. L’énergie tellurique (tellurisme), celle qui provient du centre de la terre, et l’énergie cosmique, celle qui provient de l’espace (cosmique). La terre est chargée négativement et le cosmos est chargé positivement. Ces énergies (cosmo-telluriques) sont parfaitement naturelles et ont toujours existé. Où que nous soyons sur la terre, nous sommes sous l’influence permanente de ces deux énergies. Ce qui revient à dire que nous vivons dans un immense champ électromagnétique qui résulte d'échanges permanents entre la terre et le cosmos.

Énergie tellurique : Les différents mouvements de matière qui se produisent à l’intérieur de la Terre créent les ondes ou courants telluriques. On parle d’ondes pour tout ce qui sort de la Terre et de courants pour ce qui reste à l’intérieur.

Fait intéressant, les animaux ressentent bien mieux que nous leur influence et y réagissent. D’ailleurs, voici des animaux qui fuient les rayonnements telluriques: chiens, chevaux, moutons, chèvres, vaches et cochons et d'autres qui les cherchent: chats, fourmis, abeilles, insectes en général. Les chats aiment se reposer sur des croisements telluriques. 

Énergie cosmique : Le vent solaire touche notre planète mais également un ensemble d'énergies cosmiques appelées particules cosmiques d'ultra-haute énergie.

A quoi sert la géobiologie ? La géobiologie sert à détecter plusieurs des influences négatives sur l’organisme humain, à les corriger et à améliorer les lieux de vie et de travail. Elle vise à détecter et à corriger éventuellement les déséquilibres cosmo-telluriques liés à la présence de perturbation dans le sous-sol, tels que:

  • Les courants d’eau souterrains
  • Les failles géobiologiques
  • Les réseaux (Hartmann,Curry, Peyré, etc)
  • Les cheminées cosmo-telluriques
  • Les Filons de minerai
  • Les courants telluriques.

Si nos lieux de vie peuvent être perturbés par plusieurs types de phénomènes, il est possible de guérir notre habitat et de re-construire énergétiquement notre espace vital.

Les réseaux géobiologiques. Les réseaux sont un quadrillage de murs invisibles qui recouvrent la planète. Il existe une multitude de réseaux mais je vais m’attarder à deux d’entre eux: les réseaux Hartmann et Cury, puisque ce sont les plus connus. Ils exercent une influence très puissante sur nos organismes, les animaux, les insectes, les oiseaux, les plantes.  Leur nocivité est donc maximale sur leurs noeuds.

Le réseau Hartmann, du nom de son découvreur, est un réseau orienté N/S-E/O qui parcourt tout le globe terrestre. Il s’agit d’un quadrillage de rectangles de 2 mètres (N/S)  X 2,5 mètres (E/O) et dont la largeur des bandes est de 21 centimètres. 

Le réseau Hartmann est dit «tellurique» parce qu’il prend racine dans la terre et s'élève à la verticale, traversant habitations et dalles en béton armé. 

La zone dite neutre est la partie située à l’intérieur des mailles, et la partie la plus nocive est le croisement. Dormir sur une ligne du réseau Hartmann peut provoquer des inconforts et des malaises. Le Dr. Hartmann disait que la santé physique et morale de l'homme dépendait en grande partie du lieu précis où il vit, dort et travaille.

 Le réseau Curry, du nom de son découvreur, est un réseau de losanges dont la longueur peut varier entre 3 à 8 mètres. Il est posé en diagonale, soit N/O-S/E et N/E-S/O par rapport au réseau Hartmann. Les bandes du réseau sont espacées de 4 mètres et mesurent 40 centimètres.

Ce réseau est plus nocif que celui de Hartmann et est particulièrement redoutable s’il est situé au niveau d’un lit, d’un bureau, d’un fauteuil où l’on séjourne souvent. Le croisement d’un réseau Curry en-dessous d’un lit vide graduellement la personne de ses énergies durant le sommeil plutôt que de refaire le plein. La puissance maximale de ce réseau est atteinte entre 2 heures et 3 heures le matin, ce qui explique pourquoi les gens se réveillent souvent à cette heure-là. 

Croisement. Les points où deux lignes, voire plus, se croisent se nomment des nœuds. L'exposition prolongée et répétitive sur ces zones peut provoquer des problèmes de santé. Lorsqu’on est malencontreusement  positionné sur un croisement Hartman ou Curry, ou les deux combinés, on peut se sentir déchargés d’énergie après quelques heures. Le croisement de ces réseaux peut créer des points nocifs pour l’humain qui y séjourne longtemps. Les endroits les plus nocifs dans une pièce ou sur le terrain, sont les croisements des lignes! Ces croisements (intersections) avec d’autres nuisances telluriques et cosmiques, telles des cours d’eau souterrains, une faille, radio activité ou autres, créé également des zones perturbatrices. 

Malheureusement, les maisons d’aujourd’hui sont construites sans prendre en considération ces forces naturelles. Jusque il y a environ 300 ans, avant de construire une maison ou une ferme, les gens impliqués minutieusement examiné le terrain. 

La géobiologie à travers le temps. A force de vivre en symbiose avec la nature, les anciens avaient compris que l’être humain fait partie d’un ensemble cohérent. Plusieurs des civilisations qui nous ont précédées étaient conscientes qu'il existe des radiations et des champs invisibles sur toute la terre et elles détenaient la connaissance des flux d’énergie. Les anciens utilisaient tous ces phénomènes dont ils avaient une connaissance accrue. L'utilisation de pierres levées, menhirs, placées stratégiquement servait à neutraliser des lieux chargés négativement (Stonehenge en Angleterre et Carnac en France). Ceci démontre que nos ancêtres non seulement connaissaient l'existence des courants telluriques mais aussi savaient se protéger de leurs influences néfastes.

Les menhirs sont de longues pierres dressées, de hauteur variable, allant de quelques centimètres à plus de 20 mètres. Ces pierres sont enfoncées dans le sol de plusieurs dizaines de centimètres. Dès que la pierre est correctement calée et orientée, l’harmonie Ciel/Terre va être rétablie.

Depuis quand existe la géobiologie ? Officiellement, depuis les années 1950 quand un pionnier des recherches en géobiologie, le docteur Ernst Hartmann, a découvert à la surface du sol, la présence d’un vaste réseau de rayons électromagnétiques, semblable à une immense toile d’araignée.

La géobiologie sacrée : une autre branche de la géobiologie. Certaines cathédrales ont été construites sur des réseaux dits sacrés. Ce réseau est ainsi nommé parce que des églises romanes, templières et les cathédrales gothiques bâties au XIIe et XIIIe siècles sont implantées dessus. Cette configuration du réseau tellurique a pour but d'augmenter le niveau vibratoire d'une église. 

Pour les bâtisseurs du moyen-âge, les cathédrales étaient des hauts lieux dont la fonction était de permettre aux humains d’élever considérablement le seuil de leur perception, d’atteindre des états modifiés du subconscient et de s’approcher du divin. En observant des lieux sacrés partout sur la planète (mégalithes, monuments, cathédrales, lieux de cérémonie…), on constate qu'ils ne sont pas situés au hasard, mais sur des lignes géométriques précises. Il s’agit de grands courants énergétiques circulant d’ouest en est. Ils ont la capacité de repousser les énergies négatives.

Les bâtisseurs de cathédrales connaissaient parfaitement ces réseaux énergétiques et savaient les utiliser dans leurs œuvres. Nous trouvons également cette géométrie dans l’implantation de menhirs et de dolmens, et ce, depuis la période néolithique. Les traces attestées de l’utilisation de la géométrie sacrée remontent au 5e millénaire avant J.-C.

Quel est le rôle du géobiologue

  • Repérer les nuisances des lieux: veines d’eau, fissures, cheminées cosmo-telluriques négatives, courants telluriques, courants Hartmann, Curry, Peyré, Palm, etc…
  • Conseiller judicieusement les gens avant de construire une maison (terrain); 
  • Aider avant l’achat d’une maison en indiquant son niveau énergétique, son niveau énergétique potentiel et ses perturbations principales;
  • Analyser maisons, appartements et lieux de travail;
  • Équilibrer les zones perturbées en plaçant un dispositif d'harmonisation cosmo-tellurique efficace à des endroits spécifiques.

L’Acupuncture terrestre. Tout comme l'acupuncture remet en ordre les énergies de nos méridiens corporels, il existe une acupuncture pour agir sur les méridiens de la Terre, qui permet, en quelque sorte, le rééquilibrage des énergies de la terre. Exemple, lorsqu'on positionne des menhirs dans un champ, on rééquilibre les énergies cosmiques et telluriques, ce qui a des répercussions sur tout ce qui y vit, animaux et plantes. 

Les menhirs servent à capter l'énergie tellurique et à la diriger sur un autre point. Le menhir a, entre autres, pour fonction d'évacuer vers le ciel les nuisances du terrain. La science perdue des anciens hommes du Néolithique est comme les aiguilles de l’acupuncteur judicieusement plantées sur le trajet des méridiens. Les hommes du Néolithiques plaçaient leurs menhirs sur les méridiens terrestres pour régulariser le flux et le rendre bénéfique. 

Le point menhir où il y a convergence de courants telluriques et cosmiques, est cet endroit qui permet de renverser la polarité d’un emplacement pour assainir ses ondes et en changer les effets. Mon objectif est d’utiliser les polarités, de neutraliser les points nocifs et de faire d’un site énergétique où on peut se concentrer sur la quête de l’homme qui se trouve entre ciel et terre. La géobiologie s’inspire de ces techniques pour construire des maisons où il fait bon vivre.

La géobiologie aide dans plusieurs situations. Plusieurs témoignent de l’accroissement de productivité agricole ou laitière grâce à l’utilisation de la géobiologie. Elle permet aux entreprises ou aux particuliers de prévenir des erreurs d’implantations et de choisir des matériaux pour améliorer les habitations. 

Quelques principes importants à retenir:

  1. Il faut éviter un long séjour sur un point menhir où l’énergie est trop forte;
  2. Il est possible encore de nos jours d’utiliser des pierres levées pour assainir et protéger un terrain ou un local;
  3. Le principe menhir peut être utilisé en architecture.

Il n’y a pas de magie, mais une exploitation des ressources de la terre. 

Le travail du géobiologue. Il utilise les méridiens invisibles de la nature. Placés à des endroits spécifiques, le menhir ou dolmen sont animés de leur energie propre. Les pierres levées captent les forces vitales de la trame terrestre et céleste. Les forces captées par les pierres sous tension, les vibrations sont retransmises ensuite sur le lieu pour retrouver un équilibre perdu. 

Le chercheur qui étudie les alignements cosmo-tellurique tente de percer les liens mystérieux qui parcourent l’architecture sacrée de la nature, un univers impalpable. 

Comment le géobiologue peut-il détecter les réseaux telluriques ? En se rendant sur les lieux avec des instruments de mesure, comme par exemple l’antenne de Lecher, pour y faire l’étude vibratoire des lieux et l’analyse des courants telluriques perturbateurs qui mettent en péril l'harmonie ou l'équilibre énergétique de l'être humain. L'antenne de Lecher est un instrument scientifique allemand qui permet de détecter l'énergie vibratoire (rayonnements électromagnétiques).

Photos. Maintenant avec des photos et des expériences du passé, je vais vous présenter comment je procède dans l’aventure de l’invisible et le visible. La nature nous donne de bonnes références. Elle est d’une aide précieuse.

  • Comment rendre le son visible dans la nature;
  • Créer un éclair sans nuages;
  • Localiser une cheminée cosmo-tellurique;
  • Faire pousser de l’herbe à des endroits difficiles, pour n’en nommer que quelques-uns.

Menhirs et Dolmen pour harmoniser la charge du sol et de l’air, est le but recherché pour retrouver l’équilibre entre les deux forces opposées. Fermer les forces souterraines du désordre, créer une friction pour limiter le libre accès rapide à cette masse d’informations. 

L'antenne de Lecher est un appareil conçu d'après la découverte de Ersnt Lecher, un physicien allemand (1856-1926).

Un instrument qui permet de faire des lectures d'énergies physiques et subtiles. Elle est composée de fils parallèles et d'un curseur, qui avec l'apport énergétique de l'utilisateur, développe une onde, qui en résonnance avec une onde de même calibre, fait basculer l'antenne.

Premier exemple : Photo d’herbe morte

A cet endroit, on a remplacé l’herbe, la tourbe à tous les ans, pendant huit années consécutives. Avec l’antenne de Lecher, j’ai localisé les champs magnétiques terrestres et de provenance céleste, où il y a plusieurs croisements. J’ai enfoui une tige de fer de 38 cm (15 pouces) de longueur à 8 cm (3 pouces) plus bas que le niveau du sol. Après un peu plus d’un mois, je suis retourné et l’herbe avait poussé ; une belle verdure uniforme comme vous pouvez le constater sur la photo # 2. C’est ce que j’appelle de l’acupuncture terrestre. Il y a des courants d’eau souterrains qui engendrent des variations dans les champs magnétiques terrestres.

L’antenne de Lecher est un instrument de radiesthésie. Une théorie pour expliquer cet instrument qui nous aide à accéder à notre subconscient, à y trouver les richesses d’informations emmagasinées. Elle nous permet d’être en contact avec notre entourage et de se transformer en fil conducteur entre ciel et terre, où s’échange une énergie de conscience supérieure.

Photo # 1

Photo # 2

Le deuxième exercice ressemble au premier exemple, du fait que l’herbe ne pousse plus à certains endroits (voir la photo 3). J’ai détecté à cet endroit un cours d’eau souterrain avec une chute.

Sur la photo 4. Une scène d’hiver, le même endroit. 

Il y a deux chiens sur le terrain qui courent librement. Mais comme on peut le constater, les chiens ne sont pas allés au-dessus du cours d’eau souterrain. Une preuve de la sensibilité de l’animal et qu’il y a quelque chose de dérangeant à cet endroit spécifique. Avoir son lit à cet endroit pourrait s’avérer dérangeant pour le sommeil et la santé. 

Je vais proposer des solutions plus loin dans le contenu de mon exposé.

Photo # 3

Photo # 4

Sur la photo # 5, j’ai placé une table de pierre (un dolmen) à un endroit précis. Une énergie importante émane du sol. Même l’arbre sur la photo s’en est éloigné.

Le dolmen agit de cette façon, le fer dans la pierre est orienté nord/sud. Alors, avec l’antenne de Lecher, je trouve la polarité de la pierre: les (-) et les (+). Je place un plus (+) avec un moins (-) et j’assemble la table avec des pierres. A cet emplacement, se conjuguent des croisements de résille tellurique de forte intensité, des réseaux Hartmann et Curry avec un cours d’eau souterrain et des rayons gamma. 

L’emplacement du dolmen a créé un déséquilibre d’électrons accompagné d’un vide en périphérie de la table de pierres. La force nécessaire pour équilibrer les lieux en magnétique et en électrique. Le principe éclair et tonnerre se serait mis en place avec l’arbre comme conducteur. La résine qui a aussi son rôle en électricité statique, isolant ou se polarisant. L’arbre devient électrisé au-dessus des cours d’eau souterrains.

Une force sur les murs de l’espace.

L’espace s’est placé à trois mètres de la table de pierres sur son diamètre et a créé une ouverture et une rencontre accélérée des polarités. Les mondes visible et invisible entrent en collision. Ponter une faille avec un dolmen disperse l’énergie en produisant la concentration du moins (-). Il assure une protection de la polarité négative en dispersant le positif (+). Pour le moment, je ne comprends pas comment j'ai créé un éclair sans nuage, comme on peut voir sur les photos 5 et 6.

Trois jours plus tard, il est tombé un peu de neige et l’arbre a cassé en diagonale. On voit que les autres arbres sont intacts et que l’arbre d’une hauteur d’environ 21 mètres (70 pieds) qui s’est cassé, n’est pas pourri. Tout un phénomène: de l’énergie qui nous entoure et qui travaille de façon mystérieuse. 

Photo # 5

Photo # 6

Photo # 7

Un menhir, une pierre levée, a été placée à cet endroit précis. A cet emplacement, se conjuguent des croisements de résille tellurique de forte intensité, des réseaux de Hartmann et Curry avec faille radioactives.

Le menhir a un effet de tonification sur les rayonnements telluriques. Il conduit toute la polarité négative de la terre vers sa périphérie et provoque ainsi une concentration du positif cosmique. La pénétration insuffisante du rayonnement cosmique donne naissance à des turbulences en surface, où on peut voir que la végétation est en difficulté. Une bonne pénétration du rayonnement cosmique donne la sensation d’un sol léger et tonique. Les différences d’absorption s’accentuent, suivant la conductivité des sols. 

Le menhir est un jeu de polarité nécessaire pour créer une expansion du moins, inverser les polarités du lieu, neutraliser les points nocifs et rendre le site propice au développement de la végétation et de l'homme. Un des phénomènes qui s’est produit durant la construction du menhir, en regardant la photo # 8, les deux côtés du menhir n’ont pas séchés au même rythme. Étrangement, le côté sud ensoleillé a pris trois journées à sécher, tandis que le côté nord de la stèle a séché la même journée. Alors, on a un côté sec et un côté humide, deux voies conduisent au grand œuvre, la voie sèche et la voie humide. À l’intérieur du menhir, un genre de colonne se met en place le long de laquelle un courant se rencontre et s’annule et se transforme. 

Photo # 7

Photo # 8

Photo # 9

Sur la photo, on voit un amas de neige. À ce temps de l’année, toute la neige est fondue, à l’exception où se situe une cheminée cosmos-tellurique. Après avoir identifié l’emplacement de ces énergies, le propriétaire m’a mentionné que lorsqu’il a coupé sa haie de cèdre, arrivé au-dessus de cet endroit, sa scie électrique avait court circuité. 

Une cheminée cosmos-tellurique, une force originelle créatrice de la terre constituée de deux courants magnétiques sinueux; l’un négatif l’autre positif, qui, en se rencontrant, forment des centres d’énergie pulsatif, créé à l’intersection des courants magnétiques positif et négatif, qui tournent comme des roues animées d’une force à la fois centrifuge et centripète, laquelle expulse et réintègre l’énergie.

Dans la nature, les éléments se soutiennent ou s’affrontent les uns les autres, tout comme le feu fait évaporer l’eau. Quand j’ai placé un dolmen (table de pierres), au moment de terminer l’assemblage, sept chats sont sortis du dessous des chalets environnants et se sont mis à marcher en ligne, un par derrière l’autre. Ils venaient de sentir les renversements de la polarité. 

C’est un endroit où sont captés les courants cosmiques qui pénètrent au cœur de la terre afin de maintenir l’équilibre. L’harmonie des sphères du portal; il y a sept sphères, et le temps du mouvement de montée et de descente varie selon les localités, de 10 à 13 minutes.  Certaines cheminées ont deux bras à neuf bras et la longueur aussi n’est pas toujours la même. Si, par malchance, une maison  est construite sur ces roues animées, on va sentir des courants d’air à l’intérieur du bâtiment, ce qui peut nous donner des sensations d’entités assises à la table pour souper avec des amis; les courants en-dessous de la table donnent des moments de silence inusité.

Photo # 9

Photo # 10

Photo # 10

Rendre le son visible dans la nature.

Un autre endroit où le rayonnement cosmique et terrestre se rencontre avec un cours d’eau souterrain en plus. J’ai observé des mouches à fruits, des toutes petites mouches qui tourbillonnaient à cet emplacement. Je me suis alors positionné au même endroit, pour m’apercevoir que lorsque je parlais, les mouches réagissaient. Je me suis mis à faire des sons (Hum) avec différentes intonations. Les mouches suivaient le son en montant et en descendant près de ma bouche. Elles dansaient en constituant des signes en forme de huit, de différentes grosseurs. Les huit se rapetissaient et s’élargissaient, tous synchronisés. 

Un dialogue est provoqué par la mise en jeu de la loi de résonance vibratoire entre le ciel, la terre et l’être vivant. Le résultat du mouvement où tout se dessine. Le plan, le mouvement, la spirale que deviennent les électrons sur le champ magnétique, se matérialise géométriquement.

Je suis géobiologue et je pratique la géobiologie (médecine de l’habitat) depuis plus de 15 ans. Comment? En appliquant les principes de la géobiologie. (Science de la terre vivante).

J’ai accumulé d’autres informations au fil des années, en observant les oiseaux, les abeilles, les tortues, les fourmis, les végétations. Dans un autre volet, j’aurai l’occasion de partager de plus amples informations. Pour le moment, j’espère avoir pu rendre le sujet de la géobiologie, instructif et compréhensible, et aussi montrer de quelle façon tout cela peut être utilisé pour la santé de nos habitations. 

Si vous avez des questions, n’hésitez pas à communiquer avec moi par courriel crbgaetanbergeron@gmail.com  ou par téléphone : 819-918-0338.